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  • Prévention de l'hypoglycémie

    Lhypoglycémie se définit comme une baisse du taux de sucre dans le sang au-dessous de 4 mmol/L, avec ou sans symptômes. Personnes à risque. Certaines 

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    <p><a href="https://www.healthchoicesfirst.com/practitioner-type/endocrinologist">Endocrinologue</a>, discute de la mani&egrave;re dont les patients trait&eacute;s au moyen de l&rsquo;insuline peuvent pr&eacute;venir l&rsquo;hypoglyc&eacute;mie.</p>

    Endocrinologue, discute de la manière dont les patients traités au moyen de l’insuline peuvent prévenir l’hypoglycémie.

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    <p><a href="https://www.healthchoicesfirst.com/practitioner-type/endocrinologist">Endocrinologue</a>, discute les sympt&ocirc;mes de l&#39;hypoglyc&eacute;mie.</p>

    Endocrinologue, discute les symptômes de l'hypoglycémie.

  • Prévention de l'hypoglycémie

    Une hypoglycémie, c’est essentiellement quand on manque de glucose ou de sucre dans le sang. Or, le glucose est très important, c’est la source d’énergie pour la plupart de nos organes comme les muscles, le cœur, mais surtout le cerveau, et donc lorsqu’on manque de sucre dans le sang, ça amène différentes perturbations dans le corps qui font, par exemple, que le cerveau peut se mettre à fonctionner moins bien. C’est donc important d’essayer d’éviter les épisodes d’hypoglycémie.

                       

    Lorsqu’on pense aux patients traités à l’insuline, surtout les diabétiques de type 1, c’est quasiment tous les patients qui au moins vont avoir eu certains épisodes, certainement au-dessus de 80 et 85 %. Lorsqu’on parle des diabétiques de type 2, si on prend les gens traités avec la diète ou avec certains types de pilules ou de médicaments qui ne causent pas d’hypoglycémie, ces gens-là n’auront pratiquement jamais d’hypoglycémie.  Votre médecin de famille peut vous référer à un chiropraticien local et peut travailler avec votre massothérapeute local et votre physiothérapeute local pour créer le meilleur plan de santé ou de réadaptation pour votre situation.

    Par contre, les diabétiques de type 2 traités avec des médicaments qui peuvent causer des hypoglycémies, comme le glyburide ou le glicazide ou à l’insuline vont avoir pas mal plus d’hypoglycémie. Au total, on estime qu’à peu près 40 % des diabétiques de type 2 vont avoir eu au moins un épisode d’hypoglycémie dans leur vie.   Si vous souhaitez plus d'informations sur la façon dont vous pouvez réduire votre consommation de graisses saturées, vous pouvez contacter votre diététiste local. Votre endocrinologue local est également un excellent point de départ pour vous informer sur un programme d'exercices.  

    Lorsque les patients ont des hypoglycémies évidemment c’est épeurant, ils veulent éviter d’en avoir d’autres, et il y a une série de choses que les gens sont portés à faire, certaines sont bonnes d’autres moins bonnes. Par exemple de mesurer plus souvent sa glycémie, c’est excellent. De parler à son médecin ou à son infirmière pour ajuster les médicaments, c’est excellent. Sauter des injections, ce n’est pas une bonne idée. De manger beaucoup plus, d’éviter de faire de l’activité physique, ce sont des approches qui sont moins bonnes, donc l’important, c’est d’en parler à son professionnel de la santé.   Souvent, consulter un médecin de famille local ou un physiothérapeute en collaboration avec un diététiste et un thérapeute du sport est une excellente option pour prendre le contrôle de cette condition. et l'exercice est également optimal pour la santé globale.  

    Je crois que les choses qui peuvent être faites, c’est d’abord de s’assurer de mesurer ses glycémies suffisamment fréquemment et ensuite c’est de discuter de façon à diminuer les risques en prenant les bons médicaments, donc on sait, par exemple, si c’est de l’insuline, qu’il y a des insulines qui font moins d’hypoglycémie que d’autres insulines. Il y a des médicaments qui font moins d’hypoglycémie aussi que l’insuline, donc de choisir la bonne médication, de s’assurer aussi d’ajuster la médication selon le mode de vie, par exemple, en fonction de ce qu’on mange ou de l’activité physique. Donc, l’important c’est d’en parler aux professionnels de la santé et de travailler ensemble. Trouvez des informations ou des testeurs locaux comme des endocrinologues locaux à montréal et à québec

    C’est très important de s’assurer que les patients connaissent les symptômes des hypoglycémies, mais le plus important c’est de leur poser les questions, donc de s’assurer de leur demander s’ils en ont eu des hypoglycémies et s’ils n’en ont pas eu, de s’assurer qu’ils n’ont pas eu les symptômes que peut-être ils ne reconnaissent pas c’est quoi. Donc, le plus important, c’est de leur poser la question.

    Si vous avez des problèmes avec les hypoglycémies ou croyez en avoir, l’important c’est d’en parler. Vous pouvez en parler avec votre pharmacien, vous pouvez en parler avec votre médecin, votre infirmière. Vous pouvez en parler avec un endocrinologue, l’important c’est d’aller chercher de l’aide, parce que les hypoglycémies peuvent être prévenues dans bien des cas et certainement on peut diminuer la fréquence lorsque c’est un problème pour vous. Diabetes Now Hypoglycémie Système de communication avec les patients.Di

  • L'histoire de comprendre les symptômes de l'hypoglycémie

    Alors, l’hypoglycémie, c’est quand le corps manque de sucre. Et essentiellement, le sucre ou glucose, c’est ce qui sert à faire fonctionner nos organes, les muscles, le cœur, mais notamment le cerveau. Donc, on n’aime vraiment pas ça manquer de sucre, et le corps a des moyens très forts de réussir à nous sortir de ces baisses de sucre là. Et essentiellement, un des moyens, c’est les hormones de stress. Pourquoi? Parce que lorsqu’on est stressé, dans la vie, c’est pas supposé être à cause d’un examen ou parce qu’on est énervé par quelqu’un. C’est supposé être parce qu’il y a un ours devant nous dans la forêt, puis on risque de se faire manger. Donc, lorsqu’on est stressé, le corps nous prépare soit à nous sauver en courant, ou à grimper dans un arbre, ou si on est fou, à essayer de se battre avec l’ours. Donc, qu’est-ce qu’on ressent quand on est stressé? On ressent de la transpiration, c’est pour nous rendre glissants si on se bat avec l’ours. On devient blanc comme un drap, c’est une façon que si on se fait grafigner par l’ours, on va moins saigner. Le cœur bat fort, on respire vite pour nous aider à faire de l’activité physique. On est très nerveux aussi, on tremble. Si jamais je vous dis : « Allez chercher un ballon en dessous d’un balcon », puis que, pendant que vous êtes en train de marcher en dessous, je vous dis : « Attention, il y a des grosses araignées », vous allez être très très nerveux; si du gazon vous touche, vous allez faire immédiatement un mouvement très vite. Donc, c’est toutes des façons d’essayer de nous aider à se défendre en cas de stress. À l’intérieur du corps, les hormones de stress envoient aussi beaucoup de sucre dans le sang pour que nos muscles aient beaucoup de sucre si on a à courir vite, ou quoi que ce soit. Donc, quand on a une baisse de sucre, et que le cerveau s’aperçoit qu’on manque de quelque chose d’important, il sait que ces hormones de stress là peuvent le faire. Il va donc les envoyer dans le sang de façon à faire une des actions qu’il désire, c’est-à-dire le fait de faire monter le sucre par le corps.

    Les hormones qui sont sécrétées ne savent pas qu’elles sont là pour faire monter le sucre. Elles font toutes leurs actions. Donc, elles vont faire en sorte que la personne transpire, la personne devient blanche, la personne a le cœur qui bat, a des tremblements, tout ça sont des symptômes inutiles, mais qui deviennent très utiles dans le contexte parce que la personne va s’apercevoir qu’elle est en hypoglycémie et va pouvoir se traiter. Donc, ces symptômes-là sont un accident, mais en même temps très utiles et il faut être attentionné à les reconnaître de façon à pouvoir bien traiter lorsqu’il y a des baisses de sucre.

     

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